[Paris SG] Le topic du PSG
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Alexinho a écrit:– En France, des clubs vous reprochent de ne pas avoir recruté en L 1. Que leur répondez-vous ?
– Mais on a essayé de faire venir des joueurs du Championnat de France, mais ce sont leurs clubs qui n’ont pas voulu nous les vendre ! On adorerait acheter des joueurs français mais, pour nous, cela s’avère difficile. Des clubs nous ont dit : “S’il vous plaît, n’approchez pas notre joueur…” Et comme on est respectueux, on n’a pas approché les joueurs en question. On tient à garder de bonnes relations avec l’ensemble de la L 1. »
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Séb57- International
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Fin de la conférence de presse de Ancelotti:
Van der Wiel devrait avoir signer et sera la semaine prochaine à l'entrainement.
Il sera en concurrence avec Jallet.
Sissoko a repris l'entrainement collectif.
T.Silva, Bodmer et Chantome forfait pour dimanche.
Van der Wiel devrait avoir signer et sera la semaine prochaine à l'entrainement.
Il sera en concurrence avec Jallet.
Sissoko a repris l'entrainement collectif.
T.Silva, Bodmer et Chantome forfait pour dimanche.
Alexinho- Modérateur global
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Verratti s'est fait remarquer
Marco Verratti n'est pas passé inaperçu lors de la victoire du PSG à Lille (1-2). Parfois à la limite dans ses interventions, il a aussi montré l'étendue de ses qualités.
C'était la surprise du chef. A Lille, Marco Verratti n'était pas attendu dans un rôle de titulaire. Avec la présence de Thiago Motta, l'habituelle sentinelle devant la défense parisienne, et l'éventualité de voir Javier Pastore redescendre d'un cran, le petit milieu italien ne semblait pas avoir sa place dans le onze de départ de Carlo Ancelotti. L'entraîneur parisien en a décidé autrement. Il a même décalé Thiago Motta dans un rôle de relayeur, une première depuis l'arrivée de l'ancien Interiste dans la capitale, pour faire évoluer l'ancien joueur de Pescara à son poste de prédilection, en numéro 6. Et Verratti n'est pas passé inaperçu. Y compris auprès de l'arbitre de la rencontre, M. Buquet.
Ce retour de Verratti dans le onze de départ, après deux matches débutés sur le banc à Ajaccio et face à Bordeaux, aurait pu tourner court. L'Italien a connu une première période parfois délicate, au cours de laquelle il a récupéré pas mal de ballons mais aussi commis quelques fautes. L'une d'elle lui a d'ailleurs valu un avertissement assez tôt dans le match (34e). Malgré cette épée de Damoclès, le Transalpin n'a pas revu son agressivité à la baisse. Et il n'est pas passé loin de la correctionnelle sur plusieurs interventions. Cela n'a pas échappé à Carlo Ancelotti, qui l'a sorti au cours de la seconde période pour le remplacer par Adrien Rabiot. "Marco Verratti est jeune. Je l'ai remplacé parce qu'il avait pris un carton jaune. Il a joué en confiance, parfois trop. A son poste, une perte de balle et c'est la contre-attaque", a expliqué l'entraîneur parisien en conférence de presse.
Sirigu : "Il a une forte personnalité"
Ancelotti a parfois eu des sueurs froides en voyant son compatriote à l'oeuvre, mais il n'en oublie pas pour autant tout ce que Verratti a pu apporter dans le jeu de son équipe. L'Italien de 19 ans est plein de fougue, il est parfois à la limite de la régularité, même dans son comportement par rapport à l'arbitre ou l'adversaire. Mais c'est aussi, surtout même, un remarquable joueur de ballon. A son poste, ceux qui sont dotés de telles qualités techniques sont rares. A Lille, Verratti s'est aussi fait remarquer par des gestes de grande classe, des passes lumineuses et des dribbles bien sentis. Si la relation entre le milieu et l'attaque du PSG a été nettement meilleure à Lille que face à Bordeaux et Ajaccio, c'est en partie grâce à lui. "Il a été efficace sur les possessions", soulignait Ancelotti à l'issue d'une rencontre où l'ancien joueur de Pescara a clairement marqué des points par rapport à une concurrence très forte au milieu du terrain.
Verratti a montré qu'il était capable de l'affronter. Malgré son jeune âge, il semble évoluer comme un vieux briscard, parfois même avec un peu de vice, qui caractérise des joueurs plutôt expérimentés. Du haut de ses 19 ans, l'international italien a déjà du répondant. Il n'a probablement pas fini d'étonner. "C'est un joueur qui surprend tout le monde, reconnait Salvatore Sirigu, son coéquipier en club comme en sélection. Mais je le connais depuis longtemps. On parle de lui en Italie depuis qu'il a 16-17 ans. Même s'il a joué dans des divisions inférieures, il a déjà gagné des championnats et c'est important pour un joueur de son âge. Il démontre toujours une forte personnalité. C'est important pour nous, ça donne de la sécurité et de la confiance." Verratti n'est pas étranger à cette combativité retrouvée au Grand Stade de Lille par le PSG. Il s'est fait remarquer dans tous les sens du terme. Ce n'est probablement pas fini.
C'était la surprise du chef. A Lille, Marco Verratti n'était pas attendu dans un rôle de titulaire. Avec la présence de Thiago Motta, l'habituelle sentinelle devant la défense parisienne, et l'éventualité de voir Javier Pastore redescendre d'un cran, le petit milieu italien ne semblait pas avoir sa place dans le onze de départ de Carlo Ancelotti. L'entraîneur parisien en a décidé autrement. Il a même décalé Thiago Motta dans un rôle de relayeur, une première depuis l'arrivée de l'ancien Interiste dans la capitale, pour faire évoluer l'ancien joueur de Pescara à son poste de prédilection, en numéro 6. Et Verratti n'est pas passé inaperçu. Y compris auprès de l'arbitre de la rencontre, M. Buquet.
Ce retour de Verratti dans le onze de départ, après deux matches débutés sur le banc à Ajaccio et face à Bordeaux, aurait pu tourner court. L'Italien a connu une première période parfois délicate, au cours de laquelle il a récupéré pas mal de ballons mais aussi commis quelques fautes. L'une d'elle lui a d'ailleurs valu un avertissement assez tôt dans le match (34e). Malgré cette épée de Damoclès, le Transalpin n'a pas revu son agressivité à la baisse. Et il n'est pas passé loin de la correctionnelle sur plusieurs interventions. Cela n'a pas échappé à Carlo Ancelotti, qui l'a sorti au cours de la seconde période pour le remplacer par Adrien Rabiot. "Marco Verratti est jeune. Je l'ai remplacé parce qu'il avait pris un carton jaune. Il a joué en confiance, parfois trop. A son poste, une perte de balle et c'est la contre-attaque", a expliqué l'entraîneur parisien en conférence de presse.
Sirigu : "Il a une forte personnalité"
Ancelotti a parfois eu des sueurs froides en voyant son compatriote à l'oeuvre, mais il n'en oublie pas pour autant tout ce que Verratti a pu apporter dans le jeu de son équipe. L'Italien de 19 ans est plein de fougue, il est parfois à la limite de la régularité, même dans son comportement par rapport à l'arbitre ou l'adversaire. Mais c'est aussi, surtout même, un remarquable joueur de ballon. A son poste, ceux qui sont dotés de telles qualités techniques sont rares. A Lille, Verratti s'est aussi fait remarquer par des gestes de grande classe, des passes lumineuses et des dribbles bien sentis. Si la relation entre le milieu et l'attaque du PSG a été nettement meilleure à Lille que face à Bordeaux et Ajaccio, c'est en partie grâce à lui. "Il a été efficace sur les possessions", soulignait Ancelotti à l'issue d'une rencontre où l'ancien joueur de Pescara a clairement marqué des points par rapport à une concurrence très forte au milieu du terrain.
Verratti a montré qu'il était capable de l'affronter. Malgré son jeune âge, il semble évoluer comme un vieux briscard, parfois même avec un peu de vice, qui caractérise des joueurs plutôt expérimentés. Du haut de ses 19 ans, l'international italien a déjà du répondant. Il n'a probablement pas fini d'étonner. "C'est un joueur qui surprend tout le monde, reconnait Salvatore Sirigu, son coéquipier en club comme en sélection. Mais je le connais depuis longtemps. On parle de lui en Italie depuis qu'il a 16-17 ans. Même s'il a joué dans des divisions inférieures, il a déjà gagné des championnats et c'est important pour un joueur de son âge. Il démontre toujours une forte personnalité. C'est important pour nous, ça donne de la sécurité et de la confiance." Verratti n'est pas étranger à cette combativité retrouvée au Grand Stade de Lille par le PSG. Il s'est fait remarquer dans tous les sens du terme. Ce n'est probablement pas fini.
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Il est vraiment impressionnant pour son age. Grosse confiance et grosse technique de conservation de balle. Après il fera surement des erreurs de jeunesses et prendra quelques cartons évitables mais c'est très prometteur.
Alexinho- Modérateur global
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Clair que pour 19 ans, c'est l'affaire du PSG.
J'ai vu le match hier, il est tres fort.
J'ai vu le match hier, il est tres fort.
Séb57- International
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
Les dribbles qu'il c'est permis devant Mavuba
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Re: [Paris SG] Le topic du PSG
PSG : la clé, l’esprit d’équipe
La force n’est rien sans l’esprit. Ce n’est pas un thème de philosophie au bac, mais la conclusion tirée par tous les Parisiens après leur succès à Lille. Au-delà des trois points, c’est la manière qui interpelle : pour la première fois de la saison, Paris a joué en équipe sans compter sur le talent de ses individualités.
« L’esprit était là », s’est d’ailleurs réjoui plusieurs fois Leonardo dans les couloirs du Grand Stade. En un mot, le directeur sportif parisien a synthétisé ce qui manquait tant à ses joueurs jusqu’alors.
« On a pris conscience qu’il fallait absolument être à 200%, explique Christophe Jallet. A partir du moment où c’était le cas, on a compris qu’on pouvait battre tout le monde. »
Ce renouveau mental s’est forgé la semaine passée dans l’intimité d’une réunion entre joueurs dans le vestiaire du camp des Loges (voir nos éditions du 2 septembre). A tour de rôle, plusieurs leaders du groupe ont pris la parole dans une ambiance concentrée mais sans tensions particulières.
Un symbole nommé Ménez
L’objectif était que chacun se remette en question. Les titulaires ont été incités à redoubler d’efforts. A ceux qui jouent moins, il a été demandé de se préparer comme s’ils commençaient les matchs. Un autre thème, moins habituel dans ce type de réunion organisée pour remobiliser et crever les éventuels abcès, est vite apparu. « Servons-nous de l’expérience et du palmarès des nouveaux », ont conseillé certains. Ces mots peuvent apparaître simples voire simplistes mais, pour la vie d’un groupe sportif, ils devaient être prononcés et acceptés par tous.
A l’issue du match contre Lille, un cadre confiait sa satisfaction de constater l’envie unanime de jouer en équipe. « Celui qui symbolise tout cela, c’est Jérémy (Ménez), explique-t-il. Sur son premier ballon, il pense collectif et offre le but à Ibrahimovic. Ensuite, il a défendu comme jamais et a largement contribué à gêner les relances lilloises. » Les efforts de Ménez ne se sont pas limités au jeu. « Il a fait beaucoup d’efforts pour ne pas s’énerver, alors que l’arbitre a systématiquement sifflé contre lui, poursuit l’un de ses partenaires. S’il avait reçu un avertissement, il aurait fragilisé l’équipe. Là aussi, il a pensé aux autres. »
Cinq candidats pour le futur centre d’entraînement
Si le dépôt des dossiers est clos le 15 septembre, cinq villes des Yvelines se sont d’ores et déjà portées candidates pour accueillir le futur centre d’entraînement du PSG à l’horizon 2015.
Il s’agit de Saint-Germain-en-Laye (qui héberge l’actuel camp des Loges), Carrières-sur-Seine, Montesson, Poissy et Saint-Quentin-en-Yvelines.
Les dirigeants du PSG vont se donner un mois d’étude et de réflexion avant de désigner l’heureux gagnant.
D’une superficie comprise entre 30 et 50 ha, le nouveau centre d’entraînement accueillera le centre de vie des professionnels mais aussi le centre de formation et l’équipe féminine.
Il y aura plusieurs terrains mais aussi un centre d’hébergement où dormiront les joueurs les veilles de match.
Leparisien
La force n’est rien sans l’esprit. Ce n’est pas un thème de philosophie au bac, mais la conclusion tirée par tous les Parisiens après leur succès à Lille. Au-delà des trois points, c’est la manière qui interpelle : pour la première fois de la saison, Paris a joué en équipe sans compter sur le talent de ses individualités.
« L’esprit était là », s’est d’ailleurs réjoui plusieurs fois Leonardo dans les couloirs du Grand Stade. En un mot, le directeur sportif parisien a synthétisé ce qui manquait tant à ses joueurs jusqu’alors.
« On a pris conscience qu’il fallait absolument être à 200%, explique Christophe Jallet. A partir du moment où c’était le cas, on a compris qu’on pouvait battre tout le monde. »
Ce renouveau mental s’est forgé la semaine passée dans l’intimité d’une réunion entre joueurs dans le vestiaire du camp des Loges (voir nos éditions du 2 septembre). A tour de rôle, plusieurs leaders du groupe ont pris la parole dans une ambiance concentrée mais sans tensions particulières.
Un symbole nommé Ménez
L’objectif était que chacun se remette en question. Les titulaires ont été incités à redoubler d’efforts. A ceux qui jouent moins, il a été demandé de se préparer comme s’ils commençaient les matchs. Un autre thème, moins habituel dans ce type de réunion organisée pour remobiliser et crever les éventuels abcès, est vite apparu. « Servons-nous de l’expérience et du palmarès des nouveaux », ont conseillé certains. Ces mots peuvent apparaître simples voire simplistes mais, pour la vie d’un groupe sportif, ils devaient être prononcés et acceptés par tous.
A l’issue du match contre Lille, un cadre confiait sa satisfaction de constater l’envie unanime de jouer en équipe. « Celui qui symbolise tout cela, c’est Jérémy (Ménez), explique-t-il. Sur son premier ballon, il pense collectif et offre le but à Ibrahimovic. Ensuite, il a défendu comme jamais et a largement contribué à gêner les relances lilloises. » Les efforts de Ménez ne se sont pas limités au jeu. « Il a fait beaucoup d’efforts pour ne pas s’énerver, alors que l’arbitre a systématiquement sifflé contre lui, poursuit l’un de ses partenaires. S’il avait reçu un avertissement, il aurait fragilisé l’équipe. Là aussi, il a pensé aux autres. »
Cinq candidats pour le futur centre d’entraînement
Si le dépôt des dossiers est clos le 15 septembre, cinq villes des Yvelines se sont d’ores et déjà portées candidates pour accueillir le futur centre d’entraînement du PSG à l’horizon 2015.
Il s’agit de Saint-Germain-en-Laye (qui héberge l’actuel camp des Loges), Carrières-sur-Seine, Montesson, Poissy et Saint-Quentin-en-Yvelines.
Les dirigeants du PSG vont se donner un mois d’étude et de réflexion avant de désigner l’heureux gagnant.
D’une superficie comprise entre 30 et 50 ha, le nouveau centre d’entraînement accueillera le centre de vie des professionnels mais aussi le centre de formation et l’équipe féminine.
Il y aura plusieurs terrains mais aussi un centre d’hébergement où dormiront les joueurs les veilles de match.
Leparisien
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